« Derrière leur aspect séduisant ou répulsif, mes dessins cachent en réalité une profonde mélancolie quant à la place de l’homme dans une société de plus en plus structurée et contrôlée. Une société qui voudrait se passer du corps imparfait et fragile. En travaillant sur le corps humain, je replace l’homme face à sa condition, en l’enracinant dans le biologique. »